Derniers préparatifs avant le jury de mercredi dernier.

La fin de la préparation des diplômes de fin d'année peut parfois occasionner un certain stress.



(Trop de temps libre tue le temps libre.)

A moi la glande sans scrupule avec ma copine, la ps2, les films, la flemme, la traîne sur le web jusqu'à des heures indues, les pizzas, la flâne dans les rues...

Vive les vacances

Ah et euh, voici un passage du film Spaceballs qui m'a accompagné la nuit dernière et qui, a priori, m'a porté chance :



Dédicace à MarieSpectral qui va aimer Dark Helmet.

6 heures non-stop de boulot pour confectionner le site web de l'Institut Franco-Britannique ainsi que pour finaliser mes 3 teasers.

Le site ne contient pas encore la totalité de mon diplôme de fin d'année mais vous en donnera un bon avant goût.

Je vous laisse jeter un oeil là-dessus (les teasers sont dans la rubrique du même nom. Comme quoi j'ai bien fait les choses).

Voici l'une des choses les plus étranges que j'ai jamais vues... Imaginez une rencontre tout à fait improbable entre Johnny Depp assurant la promo du Pirates chez les Caraïbes et de petits japonais grimmés en Jack Sparrow (et euh Adolf Hitler pour l'un d'entre eux) le tout sur fond de tradition japonaise. Rajoutez à cela une performance épique au piano électrique et hop :



Non, en fait c'est super flippant. Des moustaches, beaucoup trop de moustaches !!!

www.institutfrancobritannique.eu

Bientôt / soon!

Ca y est je touche au but avec ce fichu diplôme ! J'estime donc qu'il est temps que vous en sachiez un peu plus à son sujet.

Il se nomme l'Institut Franco-Britannique et devrait avoir un site web à lui d'ici quelques heures.

Voici sa description officielle :

Nous sommes européens et pourtant nous ne nous connaissons pas. Nous sommes voisins et pourtant nous ne nous comprenons pas.

La France et la Grande-Bretagne, c'est une longue histoire basée sur l'alternance haine-amour. Malgré ces siècles d'histoire commune, nous ne semblons fonctionner que par clichés et idées reçues. De plus, il n'existe aucune véritable structure dont le but serait le partage et la connaissance réciproque de nos deux pays.

L'Institut Franco-Britannique va donc tenter de remédier à cela en tentant de séduire, par le biais d'une identité visuelle et d'une communication inattendues, une cible cosmopolite et ouverte sur d'autres cultures. Aussi, elle aura les moyens de voyager régulièrement entre la France et la Grande-Bretagne.

L'idée est donc d'utiliser les clichés que les français ont des anglais et vice-versa afin de les rendre encore plus grotesques et d'initier un rapprochement entre deux cultures par le décalage, l'ironie et l'absurde.

Le mélange de figures politiques et culturelles sur fond de drapeaux des deux pays créé ce décalage et cette surprise visuelle qui permet à la cible d'entrer de plein pied dans l'univers de l'Institut Franco-Britannique. La barrière du langage est elle aussi tournée en dérision à l'aide de fausses traductions et jeux linguistiques.

Enfin, les références à l'univers absurde des Monty Pythons nous renvoient à notre propre méconnaissance de l'autre, toujours avec le ton de l'humour.

Voilà le topo.

Et pour commencer, voici le logo...



...ainsi que la police que j'ai mise au point pour l'occasion :



Sobrement nommée la Gordon Bennett, elle est construite sur une base de Century Gothic Bold et ne comporte que des majuscules. Vous pouvez la retrouver en ce moment tout en haut de ce blog (dans une version légèrement modifiée).

Voilà, c'était le premier épisode des aventures de Gordon et son Institut. Le reste très prochainement, goddamnit ! (et peut-être que la prochaine fois Gordon aura un visage...)

Parce que la musique en général est une de mes grandes influences, j'essairai chaque mois de vous proposer mon "incredible sound of the moment".

Et j'ai le plaisir de démarrer avec le nouvel opus de The Cinematic Orchestra, Ma Fleur.

Après le magistral Everyday, les anglais creusent encore plus le côté atmosphérique de leur musique, quelques peu aux dépends du côté jazz très présent dans leurs précédentes productions.

Fontella Bass est toujours présente sur quelques titres et d'autres guests (dont les noms m'échappent) font mouche. Leurs voix s'additionnent merveilleusement à la musique très lente et profonde de Cinematic.

Dès la première écoute, les titres As The Stars Fall et Time and Space retiennent mon attention : profondes contrebasses et batterie jazzy/groovy.... Yum!

En cette période de travail (souvent nocturne) sur mon diplôme de fin d'année à LISAA, c'est ce genre de cd qui m'inspire le plus...

Du son sur leur site officiel.

Et pour terminer, la boîte qui a réalisé l'artwork (magnifique) de l'album : Panda Yoghurt.